Avant de commencer, je veux juste vous dire que j'ai mangé un Magnum au chocolat blanc ! Mon truc préféré dans le genre "barre de crème glacée"... Y'en a pas encore au Canada. Les Magnums sont dispos depuis cette année seulement, mais pas celui au chocolat blanc. Il n'y a qu'en Turquie que j'en mange... Chaque fois que je viens dans ce pays, je me bourre de Magnum "beyaz" (blancs).
Pour Éric, voici la photo:
Bon. Assez les folies; mon récit maintenant.
(râclement de gorge)
Depuis deux jours, je suis à Antalya.
Antalya, c'est sur le bord de la Mer Méditérannée, tout au Sud du pays. Ça veut dire que j'aurai touché à la Mer Noire et à la Méditérannée pendant ce voyage. Pas pire, hein ? J'aurai traversé la Turquie du Nord au Sud, c'est le cas de le dire.
Là, je suis seule comme la solitude elle-même, pour quelques jours du moins. Je reprends le bus de nuit le 19 pour Sakarya. Mes valises sont encore là-bas, chez Özlem. Ça m'aura fait cinq jours au total dans le sud du sud. Je prends ici une pause dans mon break d'un mois, et je donne surtout un break de visiteurs à mes amis, qui ont tous les deux recommencé le boulot. Pas facile d'avoir une "moi" dans les pattes, quand on a aussi sa propre vie à vivre. Quelques jours ça va, mais là, ça faisait presque trois semaines que j'agissais à titre d'envahissante envahisseure ! Oh la la ! Pauvres eux !
Un fait:
Quand on voyage en solo, on devient expert des photos de type "profil facebook" prises par soi-même pour soi-même... De toute beauté. Vous savez pas de quoi je parle ?
DE ÇA:
hihihi... J'suis rendue une pro de ce genre de photos, là ! :D Je sais exactement où positionner ma face par rapport à la caméra pour qu'on ne voit pas que mon nez de cochon.
Bon, vais-je finir par vous raconter un peu les aléas de ma pauvre vie en terre du Sud? Il faudrait bien que je commence qu'on en finisse. :P
J'ai pris le bus de nuit entre Sakarya et Antalya (un gros huit heures de bus, au total), le 14 au soir. Je suis évidemment arrivée à Antalya au petit matin et ma chambre d'hôtel n'était pas prête (évidemment) au DejaVu Boutique Hotel. Par contre, ils se sont activés. Le temps de prendre un petit déjeuner des plus corrects dans leur magnifique jardin irréel et hop!, la chambre était prête pour moi ! Cet hôtel, c'est un petit morceau carrément arraché au paradis. Le service est impeccable, ma chambre (j'ai pris une chambre simple) est minuscule, certes, comme les standards de par ici, mais elle est très propre, avec une salle de bain neuve, le wi-fi, le câble,un mini-bar et l'air climatisé. Un gros 53 Euros par nuit, taxes inclus avec petit déj (typique petit déj turc). C'est un prix correct, compte tenu qu'Antalya est un bastion du tourisme de masse, en Turquie. Par contre, contrairement à Kusadasi et Marmaris, Antalya reste sublime. Je loge dans la vieille ville, Kaleiçi, qui est protégée, et on a vraiment l'impression d'être en Europe, même si Antalya est sur l'Anatolie, donc la partie asiatique de la Turquie.
Je m'étais fixé un plan de match que je respecte à la lettre: me reposer, faire de la piscine, faire de la plage, visiter des ruines. Faut bien respecter ses plans de match, de temps en temps. Pas besoin d'être tout le temps en train de sauter dans l'inconnu ! Ça fait trois semaines que je suis dans l'inconnu. Woh les moteurs ! J'avais envie de détente, et bien j'en ai plus que pas assez, depuis deux jours. L'hôtel possède une piscine fraîche et très intime. J'en profite au plus haut point. Pour partir seul(e), que ce soit pour une semaine ou un an, il faut être bien avec soi-même. Il faut s'aimer. Certain vont dire que ça fait prétentieux. Ceux qui trouvent ça prétentieux, posez-vous un peu la question de base: Si votre propre solitude vous fait peur, comment pouvez-vous ne pas effrayer les autres ? La seule règle qu'on ne peut pas outrepasser est celle que nous connaissons tous: "si tu ne t'aimes pas toi même, tu ne peux pas aimer quelqu'un d'autre". Alors oui, je m'aime. Ceux que ça dérange, ben, tant pis pour vous. ahahaha. Cinq jours à parler à presque personne... Bien des gens m'en croient incapable. Pourtant, j'ai toujours vécu comme ça. Je parle beaucoup quand je décide que je parle beaucoup. Mais j'aime garder le silence et simplement observer les gens. Je suis une excellente portraitiste et c'est pendant ces moments de silence que je crée mes meilleurs personnages, que je transpose par la suite à l'écrit.
Comment décrire Antalya ?
Bien, je suis de retour en terre de baratin. ahahah. Je suis dans un haut-lieu "d'angus men" ou "d'angus men en devenir". Ça veut dire que ça siffle, ça klaxonne quand je passe. Pas juste moi, là, mais les jeunes femmes en général. Et il faut dire que je pogne malheureusement avec la race "angus". Hier soir, je vais souper. J'avais envier d'un döner kebab de poulet dans un pain. J'avais déjà "spotté" la place qui me tentait, mais un serveur de la place m'avait "spotté" aussi. Je commande... en turc. Ça lui donne de l'eau au moulin, bien évidemment. Chose, il décide de prendre sa pause repas à ma table. Il arrive, il s'installe là en face de moi avec son lunch, et il se tourne vers le couple néérlandais qui mangeait à côté de moi et leur dit en anglais, comme pour s'excuser: "je l'aime bien et elle parle turc".
Bravo ! ahahah. Mais là, il se tourne vers moi et me dit mot pour mot en anglais: "I am a turkish casanova".... ahahahah Et moi de lui répondre: "félicitations, au moins tu le sais". :P
Puis, je lui montre mon alliance et je lui dis en turc: "evliyim". Je suis mariée, chose. Là, il change d'attitude. Il me raconte qu'il vient de la région du Mont Ararat (il est donc Kurde), qu'il a étudié en administration, mais qu'à cause de la crise économique il travaille dans le tourisme et blablabla... Finalement, je paie et je pars. Faut bien que ça finisse, le niaisage, à un moment donné.
C'est pas plus compliqué que cela, en Turquie. Tu veux passer une soirée avec un homme ? Vas dans un bastion "angus" comme Antalya et Istanbul et tu vas trouver quelqu'un qui se dévoue pour passer la soirée avec toi, et +++, si tu le (ou "te") laisses faire. Alors, il ne faut pas les (te) laisser faire. ahahah. J'suis bonne pour les revirer de bord, moi. J'ai un p'tit côté assez malin. Sans blague, il faut juste tenir son bout. Anyway, quand ils voient que tu ne veux pas, ils passent à une nouvelle proie. Là, attention les amis, il ne faut pas que vous pensiez que tous les hommes turcs agissent comme ça ! Nenon. Ni la majorité. Au contraire, l'homme turc est très respectueux. J'ai toujours été traitée comme une princesse par les messieurs d'ici. Mais à Antalya, on est sur une ville "resort". C'est comme aller à Cuba. Si tu veux te "pogner" un géo, à Cuba, tu vas t'en pogner un, en autant que tu aies les critères de base pour leur plaire. Faut pas oublier que l'Angus man, c'est un mec fa-fa. On peut l'attraper facilement. T'as juste à répondre quand il te fait le cri de l'angus dans la rue, du genre: "Hey! English, french, german, italian??? Beautiful t-shirt. Come here lady!"... héhé
Ce soir encore, j'ai rencontré un autre "angus", mais lui c'était un gentil "angus". Il ne m'a jamais rien proposé d'indécent, et il a vu mon alliance. Il avait un anglais très approximatif. Comme il était serveur, il me jasait ça entre les arrivées et départs des clients. Il trouvait mon turc mignon. Puis il s'est installé à ma table, comme l'autre d'hier, mais pour boire le thé. Pas de trouble; il voulait savoir comment apprendre l'anglais en ligne, moi qui lui avait expliqué en turc que j'avais appris le turc sur internet. Puis, quand j'ai demandé la facture. Il m'a dit: "si tu me donnes un bec sur la joue, c'est gratos". J'ai dû avoir l'air bouchée bée, sincèrement, parce qu'il s'est mis à rire et a répété sa proposition en me montrant sa joue. "Fais-là, toé??" que je me suis dit. Un gros 10 livres turques (6.50$ CAN) contre un bec ? Dans tes rêves, mec ! Je lui ai dit: je tiens à payer, alors il s'est mis à rire et a pris mon argent. Et quand il m'a dit: "mon bec?", je lui ai envoyé un bisou dans les airs et je suis partie. ahahaha. Comme vous voyez, tous les moyens sont bons pour eux pour "cruiser".
C'est à part le nombre de fois où on m'a dit que mon t-shirt était beau, aujourd'hui. Et j'ai reçu une amulette du mauvais oeil gratos en achetant une bouteille d'eau (en turc de bout en bout). Juste de même.
Tout ça pour vous dire qu'Antalya, c'est ma pratique pour Istanbul. Antalya, c'est quand même soft en matière "d'angus men", si on compare avec la métropole bi-continentale. Pascale pourrait en témoigner, de même qu'Éric, c'est malade, Istanbul. Dès que je fais un pas, j'ai une meute autour de moi ! Pourtant, je ne les provoque pas, je ne les regarde pas, je ne fais pas exprès pour leur parler... Ils me trouvent toujours, ces angus ! :P Assez phénoménal ! Mais, je suis une sage fille. Je sais où mettre les limites.
À Antalya, j'ai fait la visite de la vieille ville, Kaleiçi (porte d'Hadrien, marina, ruelles adorables). J'ai aussi profité de la pisicine. Il faut dire qu'il fait chaud. Pas un peu chaud, là. Une chaleur à t'empêcher de respirer ! Hier, il a fait 32°C. Je me suis dit: "Ok, c'est un p'tit peu plus chaud qu'à Rimouski (si peu ! hihihi), alors je vais survivre.
J'ai décidé de réserver une excursion d'une journée pour aller visiter des ruines romaines, hittites et lyciennes de la région. Ce matin, on est venu me chercher à l'hôtel à 8h00 et je suis revenue ici à 17h. Mais quelle journée ! L'an passé, à pareille date, Pascale et moi avions un chauffeur privé pour nous mener d'Athènes à Nafplio en arrêtant aux ruines de Mycènes, d'Epidavros et de Corrinthe. On avait tellement eu chaud qu'on avait eu de la misère à finir nos visites! On remerciait le ciel d'avoir une voiture privée au lieu d'avoir choisi de visiter tout ça avec les transports locaux dispos. Ben là, aujourd'hui, j'ai vécu la même affaire. J'ai eu la brillante idée de prendre l'excursion proposée par l'hôtel (50 euros) plutôt que de me tapper des méandres en dolmus ou en bus public, pour passer d'un site à l'autre, sur une distance de 100 km. Merci mon Dieu ! Merci de m'avoir guidé vers cette idée merveilleuse !!! Imaginez-vous qu'à 16h30 (en fin de journée, donc), il faisait encore 38°C !!! L'air clim, c'est l'invention du siècle, du moins pour un Québécoise blanchouillarde comme moi, qui ne bronze jamais mais qui brûle ! Ouf!
Au programme: quatre sites.
1) Asperdos, un superbe site romain incluant un aqueduc et un théâtre, lequel a encore sa fausse à orchestre. C'est le seul des presque 400 théâtres de Turquie qui a encore sa fausse ! Il sert encore, d'ailleurs. Notre guide nous expliquait qu'il peut accueillir 12 000 spectateurs et qu'on y présente des opéras, principalement, car l'accoustique y est merveilleux. Si tout le monde se tait dans le théâtre et qu'on laisse tomber une pièce de monnaie sur le roc, on peut l'entendre résonner. C'est hallucinant.
2) Side, un village truffé de ruines qui est hyper-touristique, car le site, en plus d'être romantique, est situé en bord de la mer. Side est magnifique, quoi que trop envahi par l'industrie touristique. On déambule entre les boutiques de luxe et les ruines, dont celles d'un très beau théâtre. Mais le plus charmant de Side, selon moi: Les ruines du temple d'Apollon, situées sur le bord de la mer. C'est splendide. À en perdre son latin.
3) Les chutes de Manavgat. Manavgat est une ville à côté de Side et elle possède un site célèbre pour ses chutes. Elles sont belles, les chutes, mais ne vous attendez pas à de grosses chutes. Elles sont petites, et placées dans un décor magnifique... malheureusement perdu dans des cafés et autres boutiques de babioles. Je vous dirais de ne pas faire de détour pour ces chutes, mais si elles sont incluses dans votre excursion, alors ok. Néanmoins, un peu de bruine provenant des chutes a refroidi cette trop chaude journée et ça m'a fait du bien.
4) Perge, une ville hittite et lycienne en ruines. Le site est lui-même très impressionant. Il contient un superbe stade d'une capacité de 14 000 spectateurs, un théâtre qu'on ne peut pas visiter car il est dangeureux, mais qui contiendrait une frise encore intacte qui parle du dieu Dyonisus. Perge,c'est aussi une multitude de colonnes encore superbes qui m'ont fait un peu penser à Olympie. Mais il existe un danger à Perge: les vipères. Il faut être très prudent, car le site est envahi de serpents. Les vipères ne tuent pas, mais si on se fait mordre, on va avoir une pseudo-paralysie pendant deux ou trois semaines... Et comme les vipères sont sournoises et rapides, il fallait faire gaffe ! J'avais une peur bleue à chaque pas... mais ça ne m'a pas empêché de m'aventurer dans le site. :) Les vipères n'avaient qu'à bien se tenir. J'étais prête à leur écrabouiller la cervelle... Ça doit être petit, une cervelle de serpent, quand on y pense bien...
Ici, il faut absolument que je vous parle de mon petit groupe pour cette excursion, car c'était un groupe trop loufoque ! De quoi se marrer, vraiment.
Description, description, description:
Membres 1 et 2: Une mamie britannique avec une canne ET une chaise-roulante et sa petite-fille de 10 ans. Ouin, pas fort. J'ai rien contre les mamies en chaise roulante, en passant. Mais aller faire trois sites archéologiques en chaise roulante, c'est ordinaire, voir ridicule. Je ne sais pas si vous savez, mais des sites romains, ça a un pavé en vieilles pierres ou en marbre... avec des trous entre chaque roche. La mamie, elle trainait en arrière tout le long, et la petite de dix ans poussait comme une déchaînée, dans la grosse chaleur. Notre chauffeur de minibus l'aidait du mieux qu'il pouvait (quand il pouvait, en fait), mais c'était pas évident. Est-ce que je l'ai aidée ? Nenon. Pas question de mourir à bout de force dans cette chaleur. Quand t'es pas capable de marcher, simonac, ne fait pas d'excursion archéologique. Ou encore, organise ton excursion en privé. Il me semble que c'est la moindre des choses d'être capable de transporter son corps du point A au point B, dans un tel voyage et dans une telle chaleur, surtout !
Membre 3: Une sexagénaire australienne lambine de Sydney qui voyageait seule. Elle parlait à tout le monde de ses multiples péribles, et à première vue, on croyait entendre une aventurière chevronnée. Elle disait à la Britannique: "Hein, t'as pas fait ça! T'as pas vu cette place!" (pas évident en chaise roulante, là, chose binne) Puis, à force de l'écouter, on s'est plutôt rendu compte qu'elle ne connaissait que les hôtels de luxe et les bus climatisés. Et elle ne donnait aucun pourboire, jamais. Bitch. Elle trouvait ça tellement hot d'acheter des chemises à 2$ qui ne soient pas faites en Chine ! Heille, c'est tellement hot, quand on pense que c'est fait par des enfants dans l'Est de la Turquie pour un salaire de crève-faim. Y'a pas juste la Chine qui abuse des ouvriers, là ! Réveille ! Cheap = abus. C'est la loi de la nature.
Membre 4: Un papi australien backpacker. Lui, il était discret à première vue, avec le flegme et tout, et il avait l'air austère et bougon, mais c'était finalement la personne la plus agréable du groupe, selon moi. Il s'est lié d'amitié très rapidement avec moi, car il était seul aussi, et on a parlé de plein de choses. Son père est né au Pays de Galles, au Royaume-Unis. Papi, il a fait l'Asie du Sud-Est quand il était jeune, et il a backpacké de Singapour à Londres, dans les années soixante. Sa passion: la photo. Il avait un méga appareil-photo (que j'ai eu le plaisir d'essayer pour le prendre en photo aux chutes). Sans lui, je n'aurais aucune photo de moi-même dans les belles ruines.
Membre 5 et 6: Les Natashas russes. (Natashas du Québec ou d'ailleurs, ne pensez pas que je ris de votre prénom, là. Nenon. Les Turcs appellent les prostituées et les filles faciles de Russie les Natashas, parce que dans les films américains, les belles filles russes s'appellent souvent comme ça et elles sont la plupart du temps des filles de moeurs légères. hihhi) Deux pitounes russes nous acompagnaient, donc, (une blonde, à faire tomber n'importe quel mec de sa chaise, et une brunette, bien moins belle, mais qui pognait quand-même car elle accompagnait la blonde) Elles avaient vraiment des airs de mannequins, elles dormaient dans un des hôtels les plus luxueux d'Antalya (je ne savais pas que deux jeunes filles russes pouvaient être si riches), et elles se dandinaient dans les ruines en se photographiant mutuellement en prenant des pauses de top-models. C'était crampant ! Deux clichés ambulants, bref. J'ai même pris une photo d'elles en train de faire de la photo, justement, tellement c'était drôle ! Elles étaient gentilles, néanmoins.
Photo des Russes jouant aux top-models. MDR.
Membre 7 et 8: le couple de jeunes mariés croates. Une charmant petit couple très amoureux qui courait partout pour prendre toutes les photos du monde. Me semble que j'ai vécu ça en Turquie, moi aussi, il y a trois ans... C'était MA lune de miel. Le garçon était charmant, mais très actif. La fille peinait à le suivre. Tellement qu'à un moment donné, il m'a dit: "toi, tu viens avec moi pour qu'on prenne des photos", car sa femme n'en pouvait juste plus de le suivre par cette chaleur. Il voulait dire par là: "viens avec moi, je te prends en photo et tu me prends en photo, comme ça c'est gagnant-gagnant pour tous les deux"... Le garçon parlait très mal anglais, mais assez tout de même pour me dire qu'il avait fait un cours d'ingénieur, et qu'il faisait aussi chaud dans sa ville qu'à Antalya. :)
Inutile de vous dire que ce groupe n'avait aucune cohérence. Pas grave. Le spectacle des pitounes russes a fait ma journée à lui seul.
Voilà. C'est un peu ça, Antalya. Je vais vous mettre quelques photos, mais j'en aurai bien plus bientôt. Demain, je vais m'écraser sur une plage. Je crois que je le mérite bien... et même si je ne le méritais pas, que voulez-vous, y'a une plage, faut bien en profiter ! Mon choc nerveux approche (akka: le retour dans le frette québécois)
Exemple de ruelle du vieil Antalya (Kaleiçi)
Kaleiçi
La baie est magnifique, hein ?
Une petite partie de la Marina
Micro-plage privée près de la Marina. Les grosses plages de sable sont plus loin.
Aqueduc romain d'Aspergos (une petite partie)
La route, qui passe dans les ruines de Side
Temple d'Apollon (Side)... sur le bord de la Mer! Sublime !
Aspergos: le théâtre romain
Bord de mer (Meditérannée)
Chûtes à Manavgat . L'eau est turquoise.
Paysage typique de la région, qui est très verte.
Perge
Perge
J'espère que les photos vous donnent le goût de venir me retrouver. J'ai choisi très rapidement, et je pourrais vous en mettre des dizaines. J'suis peut-être revenue dans une zone de confort raisonnable, à Antalya, mais croyez-moi, ça fait du bien.
Bises.
Je vous reviens très bientôt avec d'autres aventures d'Angus Men, car il y en aura, c'est certain. hihihi
C'est vraiment beau hein Marie-Ève!tu rapporteras d'excellents souvenirs!
RépondreSupprimermaman xxx
Ouf que j,aimerais être là présentement!On fera un souper avec visionnement photos à ton retour hein!
RépondreSupprimerBisous
xxx
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